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Charte éthique

La charte éthique de Global Africa présente les responsabilités de chacun des acteur·e·s du processus éditorial (rédacteur·rice·s, auteur·e·s, évaluateur·rice·s, traducteur·rice·s), qui sont réputés en avoir pris connaissance et s’engagent à s’y conformer, dans le souci constant de garantir la qualité scientifique, l’indépendance, la transparence de la publication.

Depuis novembre 2023, Global Africa est signataire de la Déclaration de San Francisco sur l’évaluation de la recherche (DORA) qui reconnaît la nécessité d'améliorer la façon dont les résultats de la recherche sont évalués pour aller au-delà des paramètres largement utilisés (p. ex., facteur d'impact des revues). En tant que signataire de la DORA, Global Africa s'engage à favoriser l'excellence dans le financement de la recherche et à faire en sorte qu'une juste valeur soit accordée à une grande variété de résultats de recherche dans le processus d'évaluation. L'étude de solutions de rechange pour évaluer de manière juste la qualité de la recherche, y compris l'examen des différents types de résultats de recherche, permet l'évaluation du travail des chercheurs à son juste mérite.

Charte des rédacteurs

Les articles des auteur·e·s sont sélectionnés sur la base de leur seule qualité scientifique et intellectuelle, sans distinction de race, de sexe ou d’orientation sexuelle, de conviction religieuse, de nationalité, d’affiliation universitaire ou de positionnement politique. Le comité de rédaction tient compte, dans ses décisions, des exigences légales en matière de diffamation, de violation du droit d’auteur·e ou de plagiat.

La rédaction en chef est responsable du contenu de l’ensemble de la revue, y compris les numéros spéciaux. Les articles issus de numéros thématiques sont soumis au même processus éditorial que les articles varia, y compris une double évaluation en aveugle par des pair·es. Pour les numéros thématiques, la rédaction en chef et les membres désignés du comité éditorial supervisent le travail du ou des coordonnateurs invités.

 

Le comité de rédaction sélectionne les articles avec un grand souci d’impartialité. Il accorde une attention particulière aux articles participant au débat scientifique. Tout article présentant une critique pertinente d’un autre article paru dans la revue pourra être publié. Par ailleurs, tout·e auteur·e peut apporter une réponse à une critique émise dans la revue à l’encontre de son article.

La rigueur du processus d’évaluation des articles permettra d’éviter la publication de résultats de recherche non fiables, de plagiats ou de données falsifiées. Au cas où le comité de rédaction de la revue se verrait proposer des textes avec des allégations douteuses ou des résultats non fiables, il appliquera les directives du Comité d’éthique des publications (Committee on Publication Ethics - COPE) ou toutes autres recommandations équivalentes.

Charte des auteurs

Originalité et plagiat
 

Les auteur·e·s doivent garantir l’originalité de leur article et ne publier aucun texte qui s’apparenterait, sous quelque forme que ce soit, à de la contrefaçon telle que celle-ci est définie par le Code de la propriété intellectuelle. Les déclarations frauduleuses ou sciemment inexactes constituent un comportement contraire à l’éthique de la publication scientifique ; elles ne seront pas publiées dans la revue. Un logiciel anti-plagiat Compilatio sera utilisé par la revue dès la soumission d'un article.

​​Publications multiples, redondantes ou simultanées
 

Les auteur·e·s s’engagent à ne pas soumettre un article qui aurait fait l’objet d’une précédente publication dans une autre revue, ou un nouvel article qui reposerait exclusivement sur des travaux déjà publiés ailleurs.

De même, les auteur·e·s s’engagent à ne pas soumettre leur article à plusieurs revues en même temps.

​​Références
 

Toute citation (ou utilisation de travaux d’autres auteur·e·s) doit être identifiée en tant que telle et accompagnée des références appropriées, présentées selon le schéma habituellement retenu par la revue. 

Si l’auteur·e souhaitait utiliser des informations qu’il·elle aurait obtenues en privé (conversation, correspondance), il·elle devrait tout mettre en œuvre pour obtenir l’autorisation des personnes étant à la source de ces informations.

​​Mention des auteur·e·s
 

La liste des auteur·e·s doit se limiter à ceux·celles qui ont apporté une contribution significative à la conception, à la réalisation ou à l’interprétation de l’étude présentée dans le texte soumis à la revue ou à la rédaction de ce texte. Tou·te·s les auteur·e·s doivent être mentionné·e·s, avec leur affiliation, par ordre alphabétique ou selon leur degré d’implication dans la réalisation de cette étude ou dans la rédaction de ce texte. L’auteur·e qui est en contact avec la revue doit s’assurer que seuls les coauteur·e·s approprié·e·s sont inclus·e·s dans la liste des auteur·e·s, et que tous les coauteur·e·s, après avoir vu et approuvé la version finale de leur texte, ont accepté de soumettre cet article pour publication.

​​Propos diffamatoires
 

Les auteur·e·s s’engagent à ne pas dépasser, dans les articles soumis, les règles du débat scientifique et à ne pas faire des déclarations diffamatoires, qui pourraient être interprétées comme des atteintes à la réputation d’une tierce personne.

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Conflit d’intérêts
 

Les auteur·e·s doivent déclarer tout conflit d’intérêts potentiel, professionnel ou financier. Toutes les sources de financement non public à l’origine de la recherche présentée dans le texte soumis doivent être explicitement mentionnées.

​​Erratum
 

Tout·e· auteur·e qui découvre, après publication, une erreur ou une inexactitude importante dans son propre travail, est tenu·e· d’en informer, sans délai, le comité de rédaction de la revue et de coopérer avec celui-ci pour publier un erratum, voire pour signifier le retrait de son article. Si le comité de rédaction ou l’éditeur·rice de la revue apprend, par une tierce personne, qu’un article déjà publié contient une erreur importante, il·elle· doit en informer l’auteur·e. Ce·tte dernier·ère doit alors demander le retrait de son article, le corriger ou bien fournir les éléments susceptibles d’en justifier le bien-fondé.

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Accès aux données brutes
 

Sur demande du comité de rédaction, les auteur·e·s peuvent être invité·e·s à fournir les données brutes en relation avec leur recherche. Les auteur·e·s s’engagent, dans la mesure du possible, à donner un accès public à ces données et donc à les conserver pendant un délai raisonnable après la publication.

Si l’article est fondé sur des cas cliniques impliquant des situations réelles, l’auteur·e s’engage à respecter l’anonymat des personnes auxquelles il·elle fait référence.

​​Publication numérique
 

Les auteur·e·s s’engagent, lors de la soumission de leur article, à autoriser la diffusion de celui-ci sous format numérique – notamment sur le site de la revue et des portails partenaires.

Charte des évaluateurs

Une évaluation par les pairs sera effectuée pour les contributions suivantes que cela soit pour un numéro spécial ou pour un numéro varia : Analyses critiques, (Re)découverte, RegArts, La fiche interdisciplinaire / comparative. 

Néanmoins, les articles publiés dans les autres sections, en particulier s'ils présentent des informations techniques, peuvent faire l'objet d'une évaluation par les pairs à la discrétion des rédacteur·rice·s.

Processus d’évaluation des articles soumis à la revue


La rédaction de la revue assure la confidentialité du processus d’évaluation par les pairs. Elle s’engage à ne pas partager d’information au sujet d’un manuscrit en dehors de ce processus et du comité de rédaction. 

Les rédacteur.rice.s en chef peuvent rejeter un manuscrit soumis sans avoir recours à un examen formel par les pairs s’ils.elles considèrent que le manuscrit n’est pas conforme ou en dehors de la ligne éditoriale de la revue, s’ils.elles sont informé.e.s que l’article reçu est déjà soumis ailleurs ou a déjà été publié.

La rédaction s’engage à traiter les manuscrits présentés d’une manière efficace et rapidement. Le délai moyen entre la réception et l’acceptation d’un article dans la revue est de 10 mois.

Le processus d’évaluation au sein de la revue s’organise ainsi :

  • Examen de conformité avec la ligne éditoriale par le comité de rédaction

  • Examen de pertinence par le comité de rédaction 

  • Évaluation par deux lecteur.rice.s externes en double-aveugle (les évaluateur·rice·s et les auteur·e·s n’ont pas connaissance de leurs identités réciproques) selon la proposition du comité de rédaction.

 

Sur la base des rapports d’évaluation, le comité de rédaction prend l’une des quatre décisions suivantes :

  • Accepté en l’état.

  • Révisions mineures : acceptation sous réserves d’intégration de changements modestes.

  • Révisions majeures : (acceptation sous réserves de changements substantielles. La version révisée de l’article est à nouveau soumise au processus de double évaluation.

  • Refusé.

 

En cas de doute, d’avis négatifs et concordants de la part des évaluateur.rice.s ou d’insuffisances constatées, le comité de rédaction émet un avis de rejet. Tout.e auteur.e dont le texte sera refusé se verra proposer un accompagnement pour la réécriture de son article ainsi que la possibilité de le publier, une fois les conditions réunies, dans un numéro varia.

Tout texte accepté par le comité de rédaction au terme du processus d’évaluation fait l’objet d’un travail de préparation éditoriale effectué en concertation avec l’auteur·e.​​​

Mission des évaluateur·rice·s

Les évaluateur·rice·s sont sélectionné·e·s pour leur expertise intellectuelle et scientifique. Ils·elles sont chargé·e·s d’évaluer les manuscrits sur leur seul contenu, sans distinction de race, de sexe, d’orientation sexuelle, de conviction religieuse, de nationalité, d’affiliation universitaire ou de positionnement politique.

Les avis rendus par les évaluateur·rice·s doivent être les plus impartiaux possibles.

Les évaluateur·rice·s sont tenu·e·s de signaler tout autre article ayant un rapport de similitude avec l’article soumis à la revue.

Les évaluateur·rice·s doivent signaler toute publication significative en lien avec l’article qui n’aurait pas encore été citée.​

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Conflit d’intérêt
 

Les membres du comité de rédaction et les évaluateur·rice·s doivent se récuser en cas de conflit d’intérêt avec l’un·e des auteur·e·s ou avec le contenu du manuscrit à évaluer.

Par ailleurs, tout·e évaluateur·rice qui se sait non qualifié·e pour évaluer un manuscrit ou qui sait qu’il.elle n’est pas en mesure de le faire dans des délais raisonnables est tenu·e d’en aviser le comité de rédaction et de se récuser.​​​

Confidentialité
 

Les manuscrits reçus pour évaluation sont traités comme des documents confidentiels. Aucun renseignement sur un manuscrit soumis à la revue n’est divulgué à d’autres personnes que le·la ou les auteur·e(s), les évaluateur·rice·s potentiel·le·s et, éventuellement, l’éditeur·rice.​

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Utilisation des données
 

Les données présentées dans les articles soumis ne doivent pas être utilisées avant leur éventuelle publication, dans les travaux de recherche d’un membre du comité de rédaction ou d’un·e évaluateur·rice, sans le consentement écrit et explicite de l’auteur·e. ​​

Grille d'évaluation
 

La grille d’évaluation de Global Africa est la suivante : 

  • Titre article 

  • Lecteur interne 

  • Conformité du contenu au titre de l’article 

  • Originalité des idées et des conclusions 

  • Pertinence et rigueur de la méthode, de la démarche et des références 

  • Recours à des études empiriques (etc.) et une approche théorique solide 

  • Soin dans la présentation et la structure du texte, clarté de l’expression 

  • Les conclusions et l’interprétation des données sont-elles solides, valides, fiables ?

  • Points forts 

  • Points faibles 

  • Suggestions pour améliorer le texte  

 

Les évaluateur.rice.s sont invité.e.s à arbitrer toutes les révisions d'un article et sont informé.e.s des décisions prises par les rédacteur.rice.s.​​

Charte des traducteurs

Probité et intégrité
 

Les traducteur·rice·s doivent exercer leur mission avec probité et intégrité, fondement de la confiance du comité de rédaction. Les traducteur·rice·s s’engagent à ne pas accepter d’autres missions qui porteraient atteinte à la qualité scientifique de la revue.​

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Fidélité
 

Les traducteur·rice·s s’engagent à travailler dans les règles de l’art en restituant fidèlement le sens du document qui leur est confié.​

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Secret professionnel
 

Les traducteur·rice·s sont tenu·e·s au respect du secret professionnel sous réserve des strictes exigences de leur propre défense et des cas où la déclaration ou la réévaluation est prévue ou autorisée par la loi ou avec l’accord explicite du comité de rédaction. Le secret professionnel porte sur toutes les informations et sur tous les documents qui leur sont transmis.​

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Respect du comité de rédaction

Dans leurs relations professionnelles, les traducteur·rice·s doivent respecter la confiance que leur a accordée le comité de rédaction en s’interdisant notamment d’accepter, d’exécuter ou faire exécuter un travail dont il·elle·s ne peuvent garantir la qualité ou de confier à des tiers tout ou partie du travail sans en avoir informé le comité de rédaction et recueilli son accord.

Les traducteur·rice·s s’interdisent toute forme de publicité de nature à induire en erreur et, notamment, de se prévaloir de titres, diplômes et compétences qu’il·elle·s ne possèdent pas.

Les traducteur·rice·s veillent à toujours réunir les conditions leur permettant de réaliser un travail de qualité. Il·elle·s s’engagent à travailler dans les règles de l’art, à savoir :

  • Traduire uniquement vers leur langue maternelle ou une langue cultivée, maniée avec précision et aisance ;

  • Disposer des connaissances et des compétences requises dans le domaine de spécialité de la mission ;

  • Se documenter en vue d’une parfaite compréhension et restitution des documents à traduire ;

  • Entretenir et développer leurs connaissances et leurs compétences professionnelles en se formant de manière permanente ;

  • Refuser des délais incompatibles avec la mission confiée.

Les traducteur·rice·s s’engagent à conseiller le comité de rédaction sur les méthodes et les techniques les mieux adaptées à l’accomplissement des missions qu’il leur confie. ​​

Respect des règles de bonne conduite
 

Le comité de rédaction et les traducteur·rice·s s’engagent à travailler dans le respect de la Recommandation de Nairobi (UNESCO, 1976). Les traducteur·rice·s s’obligent à respecter les droits de propriété intellectuelle et jouissent également du respect de leurs droits en tant qu’auteur·e. Il·elle·s s’engagent, en outre, à se référer aux conventions de bonne pratique applicables dans le secteur et le pays dans lesquels il·elle·s exercent.

Comportement non éthique et confidentialité

Comportement contraire à l’éthique
 

Le comité de rédaction cherchera à identifier et prévenir tout comportement contraire à l’éthique de publication. Il s’engage à mener une enquête en cas de plainte déposée à l’encontre de la revue, conformément à la procédure décrite ci-dessous. L’auteur·e doit toujours pouvoir répondre de l’infraction supposée. Le comité de rédaction publiera les corrections, excuses, explications, jugées nécessaires.

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​Procédure en cas de comportement contraire à l’éthique de publication
 

Une plainte dénonçant une pratique contraire à l’éthique de publication peut être déposée à tout moment, par quiconque, auprès du comité de rédaction de la revue.

La personne déposant la réclamation doit fournir les éléments justifiant sa plainte. Toute plainte est prise en compte par le comité de rédaction et traitée jusqu’à conclusion. Toute plainte sera traitée, quelle que soit la date de parution de l’article concerné. Les documents relatifs au traitement de cette plainte seront conservés par le comité de rédaction.

Mesures mises en œuvre dans le cas d’une réclamation auprès de la revue :

  • Entretien avec l’auteur·e, dans le cas d’une mauvaise compréhension de la charte éthique de la revue ;

  • Envoi d’un courrier à l’auteur·e, détaillant l’infraction ;

  • Envoi d’un courrier à l’organisme employeur de l’auteur·e ;

  • Parution d’un éditorial informant le lectorat ;

  • Retrait de l’article de la revue, ainsi que des bases d’indexation, et information auprès du lectorat ;

  • Embargo sur tout nouvel article de cet·te auteur.e pendant une période déterminée ;

  • En référer à une organisation extérieure ou une instance ayant autorité pour traiter la plainte.


Confidentialité


Les rédacteur·rice·s, les auteur·e·s et les examinateur·rice·s sont tenu·e·s de garder confidentiels tous les détails du processus de rédaction et d’examen par les pairs des manuscrits soumis. Sauf déclaration contraire dans le cadre d’une évaluation ouverte par les pairs, le processus d’évaluation par les pairs est confidentiel et mené de manière anonyme ; l’identité des évaluateur·rice·s n’est pas divulguée. Les évaluateur·rice·s doivent préserver la confidentialité des manuscrits. Qu'un manuscrit soumis soit publié ou non, la correspondance avec la revue, les rapports des examinateur·rice·s et tout autre document confidentiel ne doivent pas être publiés, divulgués ou rendus publics de quelque manière que ce soit sans consentement écrit préalable. ​

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